Le temps fait son œuvre et une étude australienne de septembre 2022 fait un bilan de la pandémie qui tranche avec le discours officiel.
Depuis quelques semaines, le narratif développé par les fabricants au moment de l'arrivée des vaccins anticovid s’effrite. L'Australie est un pays où 70 % des 26 millions d’habitants étaient vaccinés double dose avant Noël 2021. Les effets des vaccins à ARN messager sont devenus ainsi progressivement apparents… Une revue d'études parue dans le Journal of Clinical and Experimental Imunology fait le point.
- L'ARNm reste-t-il localisé au point d'injection ? Il était censé ne pas migrer dans le corps, notamment vers les organes reproducteurs et donc ne pas modifier notre génome ni être transmis aux générations suivantes. En réalité, les autopsies montrent que le vaccin se retrouve dans la quasi-totalité des organes dont le cerveau. Les nanoparticules servant de véhicule à l’ARNm sont capables de franchir la barrière hémato-encéphalique.
- L'ARNm est-il dégradé rapidement ? Il était censé être éliminé en quelques heures ou quelques jours. En réalité, les vaccins peuvent persister jusqu’à 60 jours minimum. Il est impossible de définir pendant combien de temps ni en quelle quantité la protéine Spike est réellement produite, ni quelles en seront les conséquences biologiques.
- Le vaccin serait-il plus efficace que l'immunité naturelle ? Depuis février 2023, il ressort que la protection naturelle après une primo-infection s’avère aussi efficace voire meilleure que celle du vaccin.
- De quoi les vaccins ARNm protègent-ils vraiment ? Contrairement à ce qui a été dit, il est désormais admis que la vaccination n’a protégé ni de la transmission, ni du risque de développer le Covid-19. A-t-elle protégée contre les formes graves ? Cela reste à prouver. Les chercheurs concluent que les vaccins à ARNm, ni sûrs ni efficaces, seraient même dangereux : à ce jour, 1 011 études ont été consacrées à leurs effets secondaires : troubles de la circulation, de la vision, neurologiques, menstruels, ainsi que cancers, myocardites…
Source : Alternative Santé, Jean-Pierre Giess – 23/03/23
